Lucie Castets Parents : Une plongée dans les origines de la candidate à Matignon

La maire de Paris lui a ensuite demandé de devenir conseillère financière à la mairie. Elle a été l’une des premières membres du groupe Nos services publics, qui s’opposait aux coupes budgétaires de l’État et au « caractère managérial » de la prestation de services publics. Le Nouveau Front populaire l’a présentée comme candidate au poste de Premier ministre le 23 juillet 2024, après les élections législatives.
Étudiants et jeunes
Jusqu’à ses dix-huit ans, Lucie Castets a vécu à Caen. Il y est né en mars 1987. Ses parents sont des psychanalystes. Après ses études à l’Institution Saint-Pierre de Caen, elle s’inscrit au lycée Louis-le-Grand, suit des cours de droit public et d’économie politique à Sciences Po, London School of Economics, et sort finalement 20e de la promotion Jean-Zay (2013) de l’ENA.
Elle tente de faire proposer le nom de Simone de Beauvoir pour le baptême de sa classe en raison de ses convictions féministes. Pendant ses études, elle suit également un cours intensif de chinois en 2006 à l’université Fudan de Shanghai. Pendant une décennie, elle est une joueuse passionnée de tennis, de handball et de taekwondo. Lors du tournoi de Roland-Garros en 2002, elle est ramasseuse de balles.
Une longue carrière dans la fonction publique
En travaillant pour le consulat général de France à Shanghai de 2007 à 2008, Lucie Castets est assistante de l’attachée culturelle. Elle a travaillé comme consultante au sein de la cellule de lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme de la Banque mondiale de 2010 à 2011. Elle a décliné l’offre de rejoindre le ministère d’Arnaud Montebourg en 2014, malgré des démarches répétées. Montebourg est ministre de l’économie.
Au Trésor, elle était collaboratrice de la direction générale. Elle a rejoint la Direction centrale des prix en janvier 2014 après avoir été nommée commissaire. Elle a décliné l’offre de rejoindre les cabinets des ministères de Michel Sapin et de Bruno Le Maire en 2016 et 2017, respectivement. De 2018 à 2020, elle a supervisé une division de Tracfin, l’agence de renseignement chargée de lutter contre les réseaux financiers illicites, le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
Sa certification d’évaluatrice auprès du Groupe d’action financière a débuté en janvier 2019. Elle a pris ses fonctions de conseillère économique d’Anne Hidalgo en septembre 2020 à la mairie de Paris. À compter du 1er octobre 2023, elle sera officiellement nommée directrice des finances et des achats après avoir été mise à disposition à ce poste en septembre 2023 par la Ville de Paris.
Le rôle de l’enseignement
De 2014 à 2017, elle a été professeur d’économie à l’Institut d’études politiques de Paris. A l’université Paris-Dauphine, elle est coresponsable de la préparation aux concours administratifs et a été nommée par décret professeure agrégée à temps partiel pour trois ans le 18 octobre 2022.
Partenariats dans les médias
Avec Saïd Benmouffok, philosophe qui s’intéresse aux questions d’éducation et exerce la fonction de conseiller à la mairie de Paris, et Béligh Nabli, professeur de droit public et essayiste, elle anime depuis le 3 mars 2024 le podcast On n’a pas tout essayé pour Le Nouvel Obs.
Engagements initiaux
Durant cette période, elle s’est fortement impliquée dans le mouvement de Martine Aubry et a farouchement défendu le syndicat de gauche. Elle est membre du think tank “Point d’ancre” et ouvrière de la campagne “Besoin de gauche” de Pierre Moscovici. Elle milite pour un partage plus équitable des richesses mondiales et milite pour le mariage pour tous et d’autres causes progressistes.
Elle était la treizième candidate de la liste PS dans le Calvados au premier tour des élections régionales de Normandie en 2015. Nicolas Mayer-Rossignol, actuel maire de Rouen, était chef de file de la liste régionale. Si elle n’a pas été retenue sur la liste finale après que Nicolas Mayer-Rossignol ait fusionné sa liste avec celle de Sébastien Jumel (Front de gauche) et Yanic Soubien (Europe Écologie Les Verts) au second tour, son départ du PS serait dû à son désaccord avec l’orientation politique du quinquennat de François Hollande, selon Paul Vannier, député de La France insoumise (LFI).
Lucie Castets, figure montante de la politique française et candidate à Matignon, suscite un intérêt croissant pour son parcours et ses origines. Découvrons ensemble l’histoire de ses parents et l’influence qu’ils ont pu avoir sur sa carrière politique.
Les racines bourgeoises de Caen
Lucie Castets est issue de la bourgeoisie caennaise, un milieu qui a sans doute façonné sa vision du monde et ses ambitions. Cette origine sociale privilégiée offre un éclairage intéressant sur son parcours et ses choix politiques.
Des parents psychanalystes
Les parents de Lucie Castets exercent tous deux la profession de psychanalyste. Cette particularité familiale a probablement eu une influence significative sur le développement personnel et intellectuel de Lucie. L’environnement familial, imprégné de réflexion et d’analyse, a pu contribuer à forger son esprit critique et sa capacité d’écoute.
L’influence de la psychanalyse sur Lucie
Grandir auprès de parents psychanalystes a potentiellement offert à Lucie une perspective unique sur les relations humaines et les dynamiques sociales. Cette exposition précoce à la psychanalyse pourrait expliquer certaines de ses approches en politique.
Le rôle du frère Simon
Lucie Castets est réputée proche de son frère Simon. Cette relation fraternelle forte suggère un environnement familial uni, malgré le peu d’informations publiques disponibles sur les détails de leur relation.
L’éducation et les valeurs familiales
Bien que les détails spécifiques de son éducation ne soient pas connus du grand public, on peut supposer que les valeurs de ses parents psychanalystes ont joué un rôle crucial dans la formation de sa personnalité et de ses convictions.
L’engagement politique : une rupture ou une continuité ?
Le choix de Lucie Castets de s’engager en politique, notamment au sein du Nouveau Front Populaire, pose la question de la continuité ou de la rupture avec l’héritage familial. Son parcours politique reflète-t-il les valeurs inculquées par ses parents ou représente-t-il une forme de rébellion ?
La discrétion sur la vie privée
Malgré son exposition médiatique croissante, Lucie Castets reste discrète sur sa vie privée et celle de ses parents. Cette attitude pourrait refléter une volonté de protéger sa sphère familiale ou simplement une séparation nette entre vie publique et vie privée.
Les critiques et les controverses
La candidature de Lucie Castets à Matignon a suscité des critiques, notamment concernant son parcours et ses prétentions féministes. Ces controverses soulèvent des questions sur l’influence de son milieu d’origine sur sa carrière politique.
L’héritage intellectuel
L’environnement familial de Lucie Castets, marqué par la psychanalyse, a probablement contribué à son bagage intellectuel. Cette formation indirecte pourrait expliquer certaines de ses positions politiques et sa manière d’aborder les enjeux sociétaux.
La perception publique des origines de Lucie Castets
L’image publique de Lucie Castets est inévitablement influencée par la révélation de ses origines bourgeoises et du métier de ses parents. Cette perception joue un rôle dans la manière dont elle est perçue par l’électorat et ses adversaires politiques.
L’avenir politique de Lucie Castets
Alors que Lucie Castets poursuit son ascension politique, la question de l’influence de son milieu familial sur ses futures décisions et orientations politiques reste ouverte. Son parcours continuera probablement d’être scruté à la lumière de ses origines.

